CONTRIBUTIONS

Image

CONTRIBUTIONS/Journée nationale de la terre nourricière : le FPI interpelle et invite à la lutte contre la dégradation de l’environnement

Le Front Populaire Ivoirien (FPI) a organisé une conférence de presse à son siège sis aux 2 Plateaux-vallons, sur le thème : la préservation des écosystèmes. C’était le samedi 20 avril 2024. Ainsi, sous la houlette de Antoinette Koukougnon Epouse Nobout, vice-présidente chargée de l’Écologie et du Développement Durable, le FPI a lancé un appel à l’action pour lutter contre la dégradation de l’environnement.

En effet, selon la Vice-Présidente, la Journée Internationale de la terre nourricière, initiée par le Sénateur américain Gaylord Nelson en 1970, est aujourd’hui reconnue comme l’événement environnemental le plus important au monde. C’est pourquoi, a-t-elle dit « le 22 avril de chaque année, cette journée vise à sensibiliser sur l’importance de la préservation des écosystèmes pour l’avenir de la planète ».

Antoinette Koukougnon a rappelé l’importance de cette journée en ces termes car elle rappelle « notre responsabilité collective envers notre planète. C’est une occasion de nous rappeler que les écosystèmes sont la source de vie et qu’il est de notre devoir de les protéger pour les générations futures », a-t-elle déclaré.

Elle a mis en lumière les conséquences désastreuses de la dégradation environnementale, amplifiées par les activités humaines telles que la déforestation, l’urbanisation et l’industrialisation. Puis, elle a souligné l’urgence d’agir pour prévenir les fléaux écologiques qui menacent l’environnement. « Les écosystèmes sont essentiels à la survie de toutes les formes de vie sur terre. La dégradation de ces écosystèmes compromet notre propre survie. Il est temps que nous prenions des mesures concrètes pour protéger notre planète et assurer un avenir durable », a indiqué la vice-présidente avant de pointer du doigt les problèmes environnementaux spécifiques rencontrés en Côte d’Ivoire, tels que la gestion des déchets et la pollution de l’eau. Elle a exhorté les autorités à intensifier leurs efforts pour résoudre ces problèmes et à mettre en place des politiques environnementales plus strictes.

 « La Côte d’Ivoire ne peut plus se permettre d’ignorer les conséquences de la dégradation environnementale. Nous devons agir maintenant pour protéger nos écosystèmes et garantir un avenir durable pour tous », a-t-elle invité les structures en charges de l’environnement.   

MJS